LEXIQUE

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C

D

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  • Fleurs de Bach:

Les Fleurs de Bach sont des élixirs floraux réalisés à partir de trente-huit essences de fleurs. Selon leur concepteur, le Dr Edward Bach, médecin clinicien et homéopathe, leur utilisation développée en 1930 traite les états émotionnels regroupés en sept émotions principales. Tout comme l’homéopathie, la thérapie florale se présente comme une thérapie globale de l’individu. Les essences de fleurs sont recueillies à partir de plantes saines trempées dans l’eau, au soleil. Une autre méthode est la décoction, c’est-à-dire que les fleurs sont recueillies à partir de plantes saines trempées dans l’eau, et portées à ébullition durant trente minutes. Il n’y a pas de dynamisation avec les « fleurs de Bach ».

G

H

  • Hydrolat :

Un hydrolat ou eau florale est un sous-produit de la distillation des plantes dans le but de fabriquer une huile essentielle. Les hydrolats sont obtenus lors de la distillation par entraînement à la vapeur d’eau des fleurs, feuilles ou rameaux des plantes. Les eaux florales proviennent de la distillation des fleurs.Les hydrolats et la distillation étaient bien connus des savants arabes du Moyen Age. Ils étaient probablement aussi utilisés par les Égyptiens antiques, grands amateurs de parfums.

L’eau florale est souvent confondue avec l’infusion florale que l’on peut réaliser en laissant infuser des plantes dans de l’eau. L’infusion de plantes n’a pas la même composition donc pas les mêmes propriétés que l’hydrolat correspondant.

L’hydrosol est obtenu par la macération d’huile essentielle dans de l’eau pure pendant un certain temps. L’hydrosol est assez rare.

  • Herboristerie :

L’herboristerie est à la fois :
- La préparation et la commercialisation de plantes médicinales ou de préparations dérivées.
- Par métonymie, le terme désigne la boutique dans laquelle sont vendues les plantes médicinales, tenue par un herboriste.
Le métier d’herboriste a été reconnu pour la première fois en France en janvier 1312. En France, un diplôme d’herboriste a été délivré jusqu’au 11 septembre 1941.Le diplôme d’herboriste a été supprimé par Pétain en 1941, ce métier a de fait pratiquement disparu. Il existe encore des herboristeries qui continuent de vendre des plantes médicinales au nom des derniers titulaires du diplôme d’herboriste. Légalement, seuls les pharmaciens ont le droit de vendre les plantes présentées selon leurs propriétés médicinales. Une tolérance existe cependant pour les personnes travaillant avec les herboristes diplômés, même si en réalité les herboristes n’exercent plus depuis longtemps… Un diplôme universitaire de phytothérapie (DUMENAT) réservé aux médecins, pharmaciens et vétérinaires existe à la faculté de médecine Paris XIII

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  • Naturopathie :

La naturopathie est une médecine non conventionnelle visant à « rééquilibrer » le fonctionnement de l’organisme par des moyens « naturels » : alimentation, hygiène de vie, phytothérapie, massages, exercices, etc.; et psychologie pour la « naturopathie rénovée » qui place le désordre psychoémotionnel en tête de liste des déséquilibres physiologiques qui en découlent.Il existe plusieurs définitions de la naturopathie. Guy Bohémier (Président du Collège des naturopathes du Québec) définit la naturopathie « comme étant la philosophie, l’art et la science qui visent à apporter à l’être humain le plus haut degré de santé possible en lui apprenant à gérer correctement ses habitudes de vie. »

L’enseignement de la naturopathie est très proche de l’hygiénisme du fait de l’absence de remède. En naturopathie c’est le global qui autoguérit le local, l’organe malade n’est pas le responsable, mais la victime.

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  • Ostéopathie :

L’ostéopathie de l’anglais osteopath (de osteo et de path d’ou le nom anglais d’osteopath, à ne surtout pas confondre avec la racine grec osteo-pathos est un savoir-faire manuel qui se veut à la fois préventif et curative. Créée vers1874 par le médecin américain Andrew Taylor Still (1828-1917), elle est essentiellement fondée sur des techniques manuelles visant à la conservation ou la restauration de la mobilité des différentes structures de l’organisme. Elle se base sur l’idée selon laquelle toute perte de mobilité naturelle des organes les uns par rapport aux autres apparaît au niveau des muscles, des tendons, des viscères, du crâne ou des enveloppes (fascia) et induit des dysfonctionnements.

Les ostéopathes considèrent que la remise en fonction de la mécanique corporelle peut entrainer une régulation de l’homéostasie. Les ostéopathes considèrent que la médecine allopathique est nécessaire pour toutes les atteintes de la structure même de l’organisme. Ils traitent plutôt les pathologies fonctionnelles, éventuellement psychosomatiques, ne relevant pas de rééducation en kinésithérapie. Un ostéopathe peut travailler avec un patient atteint d’une atteinte de la structure corporelle une fois celle ci prise en charge par la médecine allopathique, bien que peu de patients bénéficient des soins concertés d’un médecin d’un kinésithérapeute et d’un ostéopathe.

L’ostéopathie est considéré de manière assez confuse par le milieu scientifique, souvent sous la pression de lobby propre a chaque pays. Si elle est considéré comme l’équivalent de la médecine allopathique aux états unis, cette évolution fut longue et témoigne d’une réticence archaïque (Chirurgie) du monde médical a accepter un savoir-faire. L’histoire de cette page illustre bien les évènements qui eurent lieu en 2007 lorsque le décret de loi sur l’ostéopathie vit le jour, 10 ans après l’avis du parlement européen, et sous une forme très critiqué par tous les intervenants

On reconnait l’effet de l’ostéopathie au fait que les patients déclare souvent une absence de la gêne ou de la douleur ressentie auparavant. Ce critère est loin d’être anodin et témoigne d’une sensation très caractéristique exprimé par un très grand nombre de patient.

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